The Authority est un comics américain créé par Warren Ellis et Bryan Hitch.
Authority est une équipe de supers héros qui agissent à grande échelle. On trouve dans les premiers tomes : la destruction de trois métropoles mondiales, l'invasion de la Terre par une Terre parallèle suivie de la destruction d'un pays, ou encore le retour d'une entité divine décidée à récupérer la Terre. Ces premiers numéros, avec un côté « comics d'action à grand spectacle », leurs scénarios parfois réduits à quelques mots ou à une idée, et une grande violence, ont un caractère novateur.
Dès le départ, l'action d'Authority est éminemment politique : intervenant à l'échelle planétaire, l'équipe exerce une influence sur la politique internationale. Toutefois le premier scénariste Warren Ellis avait choisi de ne pas développer cet aspect, laissant l'interprétation à la discrétion du lecteur.
Ceci change avec l'arrivée sur le titre de l'équipe Mark Millar/Frank Quitely. Conservant les techniques narratives qui avaient fait le succès des premiers numéros, ils donnent à Authority un caractère irrévérencieux et quasi-révolutionnaire. Les héros combattent l'injustice sociale, n'hésitant pas à défier le pouvoir et à s'affranchir des lois lorsqu'ils l'estiment nécessaire. On les voit par exemple s'opposer violemment au gouvernement américain, qui ne supportait de les voir constamment interférer avec ses intérêts. La série aborde également des questions de société controversées. Ainsi deux des personnages forment un couple homosexuel marié qui adopte un enfant ; un autre personnage est confronté à de graves problèmes de toxicomanie, faisant une overdose à l'héroïne.
C'est une série qui me plait énormément par son décalage et son côté politiquement incorrect. Les dessins sont également de bonnes factures.
Plus s'infos et d'image sur le site d'Ultimatecomics.
Heroes est un feuilleton télévisé américain créé par Tim Kring en 2006.
Le professeur Chandra Suresh défend une théorie selon laquelle, l'homme n'utiliserait que 10 % des capacités de son cerveau et que certaines personnes seraient en ce moment même en train de développer les 90 % restants et acquérir des pouvoirs comme la lévitation ou la régénération cellulaire. Les autres chercheurs ne le croient pas, il décide alors de chercher puis de rencontrer ces personnes aux pouvoirs surnaturels pour leur expliquer le phénomène qui s'exprime en eux jusqu'à ce qu'il disparaisse. Son fils (Mohinder Suresh) va alors reprendre la recherche...
À Tokyo, un Japonais (Hiro Nakamura) découvre qu'il est capable de courber l'espace-temps et de se téléporter. À New York, un artiste (Isaac Mendez) peut peindre le futur, un politicien (Nathan Petrelli) est capable de voler tandis que son frère (Peter Petrelli) a la capacité de s'approprier les pouvoirs des autres Heroes lorsqu'ils sont à proximité...
Heroes est une chronique de la vie de ces personnes, de leurs liens et de leur destinée : sauver le monde.
Bien qu'elle présente de nombreux défauts (surtout dans la saison 2), c'est une série divertissante qui s'inscrit dans l'esprit du film « Incassable » avec Bruce Willis.
Un truc sympa pour les « initiés », il y a pas mal de clins d'oeil. Par exemple, dans un épisode, Stan Lee, créateur de plusieurs comics apparaît brièvement dans le rôle d'un chauffeur de bus.
Plus d'infos, d'extraits... sur le site français de la série.
Rubin Steiner n'est pas allemand, c'est un déjanté de la french touch, un bidouilleur de l'électro. Derrière ce pseudo scénique se cache Fred Landier, un amateur de musique, qu'elle soit jazz, hip-hop, funk, house, trip-hop...
Le Top : « Another record story », single qui devrait être obligatoire dans toute soirée musicale ;-).
Le clip n'est pas terrible mais Rubin à l'air d'être tricard sur Deezer...
Millénium est une trilogie de romans policiers de l'écrivain suédois Stieg Larsson parue en Suède en 2005.
Elle se compose de trois romans :
Les hommes qui n'aimaient pas les femmes, (Millenium 1) ;
La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette, (Millenium 2) ;
La Reine dans le palais des courants d'air, (Millenium 3).
Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
Chaque année depuis quarante-quatre ans, un vieil homme reçoit à son anniversaire une fleur séchée dans un joli petit cadre, un envoi évidemment anonyme; tous ont été accrochés à un mur de son bureau. Et, chaque année, il téléphone immédiatement à un commissaire à la retraite pour lui confirmer le message reçu. Quel message ? De qui ? Pourquoi ?
C'est de la bombe. Une fois le nez dedans on n'en sort pas. C'est plein d'humour, de surprises, d'angoisse... Le seul truc c'est que ça rend un peu parano...
Extrait d'une auto_interview donné à Télérama (chacun ses références).
Qui sommes-nous ?
Un numéro à deux. Dan le Sac joue des beats électro déglingués et Scroobius Pip raconte des histoires poétiques par-dessus.
D’où venons-nous ?
Stanford le Hope, dans l’Essex. Ça sonne français et charmant, mais c’est juste d’un ennui mortel !
Quelle musique jouons-nous ?
Difficile à dire. Un mélange d’électro, de poésie et de hip-hop.
C’est quoi le “spoken word” ?
De la poésie. Contrairement aux paroles de chansons classiques, c’est le fond et non la forme qui est privilégiée. C’est censé avoir plus de sens.
Pour quoi ces noms ?
Scroobius Pip vient d’un poème d’Edouard Lear et Dan le Sac, c’est parce que Dan s’appelait DJ Sackboy et il a voulu le raccourcir !
Nos influences musicales ?
On en a des tonnes ! De LCD Soundsystem à Minor Threat en passant par KRS One.
Les entêtantes mélodies des morceaux « Thou shalt always kill » et « Beat that my heart skipped » restent longtemps dans la tête.
Zebra est un DJ spécialiste du bootleg (ou mash-up) un style trés anglais qui mélange des tubes pop entre eux pour en refaire de véritables nouvelles chansons.
Il tourne depuis plusieurs années, en France et dans le monde, représentant une nouvelle génération d'artistes devenus populaires grace à internet.
Il a composé plus de 250 bootlegs. Ses classiques sont "Joey Starr Wars" (Joey Starr vs. John Williams), "Soul desir" (Aretha Franklin vs. Noir desir), "Killing boombastic" (Shaggy vs. R.A.T.M.), ou l'inévitable "J'adore mon medley" (Katerine vs. Boney M).
Musicien avant tout, il est guitariste et multi-instrumentiste de formation (il a joué avec Billy ze kick et les Gamins en Folie en 1993-94, ainsi que Demain les Poulpes et Les Raggamins dans les 90's).
Il envisage ses DJ sets comme des concerts, rendant vivantes et intenses ses prestations, prenant le micro et la guitare par moments, sautant et slammant quand la transe le gagne.
Son site permet d'écouter et télécharger de nombreux bootleg.
Zebra, de la bombe pour courir :-)
